Freelance : le guide complet pour réussir en tant qu’indépendant

Le statut de freelance, en tant que travailleur indépendant, connaît une popularité croissante ...

Guillaume M.
2/9/2024
Expert

Le statut de freelance, en tant que travailleur indépendant, connaît une popularité croissante ces dernières années, en réponse à l'évolution du marché du travail et aux aspirations des professionnels en quête de plus d'autonomie et de liberté. De plus en plus de personnes choisissent de se lancer dans la création d'une activité en freelance pour mieux concilier vie professionnelle et personnelle, diversifier leurs expériences ou encore augmenter leur revenu potentiel. Cette tendance est renforcée par le développement des technologies numériques, qui facilitent le travail à distance et l'accès à un réseau mondial de prospects. Le statut de freelance représente aujourd'hui une alternative attractive au salariat traditionnel, attirant tant les jeunes talents que les experts expérimentés.

1. Qu'est-ce qu'un freelance ?

1.1. Définition du terme "freelance"

Le terme "freelance" désigne un travailleur indépendant qui offre ses services et compétences à des clients, qu'il s'agisse d'entreprises ou de particuliers, sans être lié par un contrat de travail permanent. Contrairement à un salarié, un freelance travaille de manière autonome, en choisissant ses missions et ses clients. Cette indépendance lui permet de gérer son emploi du temps et d'organiser son travail avec une grande flexibilité. Cependant, être freelance implique également de prendre en charge toutes les responsabilités liées à cette organisation : recherche de clients, négociation lors de la signature du contrat, et administratif. La liberté dont bénéficie un travailleur indépendant s'accompagne donc d'une responsabilité accrue, nécessitant une bonne organisation et une capacité à s'adapter aux besoins du marché.

1.2. Domaines d'intervention

Les freelances interviennent dans une grande variété de secteurs d'activité, avec une prédominance pour le domaine du digital, du conseil, et de la formation. En effet, ces secteurs, en constante évolution, nécessitent une expertise pointue, de réelles compétences dans le domaine en question, et une capacité d'adaptation rapide, des qualités souvent associées aux indépendants. Dans le domaine du digital, par exemple, ils sont très présents en tant que développeurs web, designers graphiques, ou spécialistes du marketing digital. On les retrouve souvent aussi, que ce soit en stratégie d'entreprise ou en gestion de projet. Ils proposent aussi leurs services en tant que comptable ou RH externalisé. Enfin, le domaine de la formation est un autre secteur où ils apportent leur expertise, que ce soit pour des formations en entreprise ou en tant qu'intervenants en écoles.

2. Comment se lancer en tant que freelance ? 

2.1. Les démarches administratives

La première étape pour devenir freelance consiste à choisir le statut juridique adapté et à accomplir les démarches administratives nécessaires. En fonction du statut choisi, vous devrez procéder à différentes formalités :

  • Déclaration de votre activité : si vous optez pour le statut d'auto-entrepreneur (ou micro-entreprise), il vous suffit de déclarer votre activité en ligne sur le site de l’URSSAF pour se déclarer auto-entrepreneur. Pour la création d'une société (EURL, SASU), des démarches plus complexes sont nécessaires, comme la rédaction des statuts, le dépôt du capital social et l’immatriculation au Registre du Commerce et des Sociétés (RCS).
  • Obtention des numéros SIRET/SIREN : une fois déclaré, vous recevrez votre numéro SIRET/SIREN, indispensable pour facturer vos clients et vous identifier auprès des administrations.
  • Ouverture d’un compte bancaire dédié : pour une organisation claire de vos finances, il est recommandé d'ouvrir un compte bancaire professionnel distinct, surtout si vous optez pour la création d'une société.
  • Souscription aux assurances professionnelles : il peut être nécessaire de souscrire à une assurance responsabilité civile professionnelle pour vous protéger contre d’éventuels litiges.
  • La supervision des responsabilités fiscales et sociales : vous devrez vous affilier à la Sécurité sociale des indépendants et déclarer vos revenus selon les modalités fixées par votre statut (mensuelles, trimestrielles, ou annuelles).

2.2. Les plateformes de freelance

Une fois les démarches administratives accomplies, il est temps de trouver vos premières interventions. Les plateformes de freelance sont devenues un outil incontournable pour ceux qui cherchent à développer leurs activités. Ces plateformes mettent en relation des freelances et leurs prospects, facilitant ainsi la recherche de missions.

  • Les plateformes généralistes : les plateformes généralistes : des plateformes comme Upwork, Malt, ou Freelancer proposent une large variété d’interventions dans des secteurs diversifiés, allant du développement web au marketing en passant par la traduction. Elles offrent une grande visibilité et permettent de se constituer rapidement un portefeuille de clients. Cependant, la concurrence étant élevée, la visibilité peut parfois être limitée.
  • Les plateformes spécialisées : certaines plateformes se concentrent sur des niches spécifiques, comme Akigora, qui réunit des Experts qualifiés dans leur domaine d'expertise. Ces plateformes offrent l’avantage de cibler des missions mieux rémunérées et adaptées à votre spécialisation.
  • Les réseaux sociaux professionnels : LinkedIn, par exemple, peut être un excellent complément aux plateformes de freelance. Vous pouvez y développer votre réseau et partager vos réalisations. 

2.3. Les outils indispensables

Pour bien démarrer en tant que freelance, il est fortement conseillé de s’équiper d’outils nécessaires pour gérer votre activité de manière efficace. Voici quelques outils indispensables :

  • Outils d’organisation : des outils comme Trello, Asana ou Notion vous aideront à organiser vos tâches, à suivre leur avancement et à collaborer avec vos clients.
  • Outils de facturation et comptabilité : pour gérer vos finances, des solutions comme QuickBooks, Facture.net, ou Freebe sont recommandées. Elles permettent de créer des devis et factures, de suivre les paiements, et de gérer vos obligations comptables.
  • Outils de communication : la communication avec vos clients est primordiale. Des outils comme Slack, Zoom, ou Microsoft Teams facilitent les échanges et permettent de rester connecté avec eux, même à distance.
  • Outils de marketing et de portfolio : pour vous faire connaître et attirer des prospects, des outils comme Canva (pour créer des visuels), WordPress (pour créer votre site web), et Behance (pour présenter votre portfolio) sont très utiles.
  • Outils de productivité : enfin, des outils comme Google Workspace ou Microsoft 365 sont requis pour gérer vos documents, emails, et rendez-vous.

3. Le statut juridique du freelance

3.1. Les différents statuts possibles pour un freelance

Le choix du statut juridique est essentiel pour un freelance, influençant la supervision administrative, la fiscalité et la prévoyance santé. 

L’auto-entrepreneur ou micro-entreprise

Le statut d’auto-entrepreneur, ou de micro-entreprise, est simple et rapide à mettre en place, idéal pour ceux qui débutent en tant qu'indépendants. Il offre une coordination administrative allégée et une fiscalité simplifiée, avec des cotisations sociales basées sur le chiffre d’affaires. Cependant, ce régime impose un plafond (77 700 € pour les prestations de service en 2024) et limite la possibilité de déduire les charges.

La société (EURL, SASU)

Pour ceux qui cherchent à protéger leur patrimoine personnel et à bénéficier d’une structure juridique plus solide, la création d’une société est une option. 

  • EURL : offre une responsabilité limitée et une flexibilité fiscale (impôt sur le revenu ou impôt sur les sociétés). L’organisation est plus lourde, avec des obligations comptables et de dépôt des comptes annuels. 
  • SASU : convient aux projets ambitieux avec une souplesse organisationnelle et une couverture sociale du régime général. Cependant, elle implique des charges plus élevées.

Le portage salarial

Le portage salarial permet de combiner indépendance et protection sociale. Le freelance signe un contrat de travail avec une société de portage qui gère les aspects administratifs. Ce régime offre la sécurité du statut de salarié, mais avec des frais de gestion à prévoir (environ 5 à 10 % du chiffre d'affaires).

3.2. Choisir le bon statut juridique en fonction de son activité

Le choix du statut dépend du type d’activité et des objectifs du freelance.

  • Auto-entrepreneur/micro-entreprise : adapté aux activités avec une faible recette ou en phase de démarrage.
  • Société : convient aux activités à forte croissance ou nécessitant des investissements.
  • Portage salarial : idéal pour ceux qui recherchent la sécurité tout en restant indépendants.

Tous les statuts ont des implications fiscales et juridiques spécifiques, influençant la coordination administrative et la fiscalité du freelance. En effet, le choix doit être fait en fonction de la nature de l’activité, des perspectives de développement, et des priorités en matière de prévoyance santé.

4. Les aspects juridiques et fiscaux du freelance

4.1 Le régime fiscal

Les freelances doivent choisir leur régime fiscal en fonction de leur statut et de leurs besoins spécifiques. Le régime d’auto-entrepreneur (qui correspond pour rappel à celui d’une micro-entreprise) et celui des sociétés présentent des différences notables en matière de charges et d’impôts. Pour un auto-entrepreneur (ou micro-entreprise), les charges sociales sont calculées sur le chiffre d'affaires avec un taux simplifié, ce qui implique généralement moins de charges comparées à celles des sociétés. En matière d'impôts, les revenus d’une micro-entreprise peuvent être soumis à un prélèvement forfaitaire unique (PFU) ou intégrés dans le revenu global. Ce régime est apprécié pour sa simplicité administrative et ses taux fixes. En revanche, ceux opérant sous le statut de société (comme une EURL ou une SASU) connaissent une structure fiscale différente. Les charges sociales sont calculées sur la rémunération du dirigeant, ce qui peut être plus élevé comparé à un auto-entrepreneur. De plus, les sociétés sont soumises à l'impôt sur les sociétés (IS), tandis que les dividendes peuvent être assujettis à des prélèvements sociaux et à l'impôt sur le revenu. Bien que ce régime soit plus complexe à gérer, il peut offrir des avantages fiscaux à long terme.

Pour ceux inscrits en portage salarial, le régime fiscal et social est encore différent. Dans ce cas, le freelance est juridiquement salarié d'une société de portage, ce qui signifie qu'il bénéficie du régime général de la Sécurité sociale, avec toutes les protections associées, comme l'assurance chômage et la retraite. Cependant, les charges sont plus élevées, car elles incluent non seulement les cotisations patronales et salariales, mais aussi les frais de supervision de la société de portage, qui sont généralement compris entre 5 % et 10 % du chiffre d'affaires. Ces frais couvrent la question administrative, comptable et fiscale, offrant au freelance une tranquillité d'esprit en échange d'une part de ses revenus. En termes d'impôts, le freelance en portage salarial est imposé sur le revenu comme un salarié classique, et la société de portage s'occupe de la déclaration et du prélèvement à la source.

Concernant les responsabilités fiscales, l’auto-entrepreneur doit déclarer ses recettes et ses revenus chaque mois ou trimestre, en fonction de sa fréquence de déclaration. Les sociétés, quant à elles, doivent produire des déclarations fiscales annuelles. La comptabilité est simplifiée pour un auto-entrepreneur, elle est souvent faite à l'aide de logiciels basiques, alors que les sociétés doivent tenir une comptabilité rigoureuse incluant des bilans et des comptes de résultats. Dans ce cas, il est souvent nécessaire de faire appel à un comptable pour assurer la conformité et l'exactitude des documents financiers. En ce qui concerne la TVA, les auto-entrepreneurs sont exonérés jusqu'à un certain seuil de chiffre d’affaires, tandis que les sociétés doivent facturer la TVA et la reverser à l’administration fiscale. L’intervention d’un comptable est également conseillée pour optimiser la question de la TVA et des autres responsabilités fiscales. Pour les freelances en portage salarial, la société de portage s’occupe de toutes ces formalités, simplifiant ainsi l’organisation administrative tout en offrant une protection complète.

4.2 Les aspects juridiques à considérer

Les freelances doivent également être vigilants sur les aspects juridiques liés à leur activité. La propriété intellectuelle et les droits d’auteur sont des domaines sur lesquels ils doivent porter leur attention. Les créations intellectuelles telles que les logiciels, les sites web, les textes, les graphiques, et autres produits doivent être protégées par des droits d’auteur ou des brevets si nécessaire. Il est essentiel de définir clairement dans le contrat signé par les différentes parties qui détient les droits sur les créations réalisées. En général, les droits d’auteur appartiennent au créateur, sauf si une clause indique une cession des droits au client. En outre, l’assurance responsabilité civile professionnelle est indispensable pour protéger le travailleur indépendant contre les risques de litiges liés à leur prestation de services. Cette assurance couvre les dommages causés aux tiers dans le cadre du travail, notamment en cas d’erreurs, d’omissions, ou de négligences. Elle est essentielle pour éviter les lourdes conséquences financières en cas de réclamation ou de procès et renforce la crédibilité auprès de leurs clients.

Dans le cadre de leur prestation, les freelances doivent également prêter attention à la clause de confidentialité dans le contrat qu'ils signeront. Cette clause est importante pour protéger les informations sensibles échangées entre le freelance et le client. Elle impose au freelance de ne pas divulguer ou utiliser les données confidentielles du client en dehors du cadre strict de la mission. En l'absence de cette clause, le freelance pourrait être exposé à des risques juridiques en cas de fuite d'informations sensibles. Il est donc recommandé d'inclure une clause de confidentialité bien définie dans le contrat pour clarifier les responsabilités et obligations de chaque partie et assurer une protection juridique adéquate.

5. Le salaire des freelances

5.1 La tarification

Les freelances déterminent souvent leurs tarifs en fonction de leur niveau d'expérience, de leur spécialisation, et de la demande du marché. En général, les freelances expérimentés, qui possèdent une expertise spécifique dans des domaines recherchés, peuvent facturer des honoraires plus élevés que les débutants. Les tarifs peuvent être fixés par projet, horaires, ou journaliers, et négociés avec les clients au préalable de la signature du contrat.

Un élément clé de la tarification pour un indépendant est le Taux Journalier Moyen (TJM). Le TJM représente le montant que le freelance facture pour une journée de travail. Ce taux est calculé en prenant en compte non seulement le coût de la prestation elle-même mais aussi les charges liées à l'activité, comme les cotisations, les assurances, et les frais généraux. Le TJM est souvent utilisé dans le contrat pour simplifier les modalités de facturation et fournir une estimation claire du coût total d’une mission.

Le TJM peut varier considérablement selon la spécialisation du freelance, l'expertise requise pour la mission, et la région géographique. Par exemple, un freelance dans le domaine du développement informatique ou du conseil stratégique peut avoir un TJM nettement plus élevé qu'un freelance dans des domaines moins spécialisés. De plus, l’indépendant doit adapter son TJM en fonction de la complexité du projet, de la durée de la mission, et des exigences particulières du client. Une bonne compréhension de la valeur du marché et une évaluation précise de ses compétences sont essentielles pour fixer un TJM compétitif tout en assurant la rentabilité des activités.

5.2 La variabilité des revenus

L'un des défis majeurs est la variabilité de leurs revenus. En effet, et contrairement aux salariés avec un salaire stable, ils doivent faire face à des fluctuations en fonction de la quantité et de la régularité des travaux réalisés. Les périodes de forte activité peuvent être suivies de phases plus calmes, ce qui peut entraîner des périodes de revenus réduits. Une organisation proactive de la trésorerie et une planification financière rigoureuse sont primordiales pour maintenir une stabilité économique et gérer les périodes creuses.

5.3 Les coûts associés au travail en freelance

Les freelances doivent assumer plusieurs coûts qui peuvent influencer leur revenu net. Ces coûts incluent les charges sociales, les assurances professionnelles, les frais de fonctionnement (comme les logiciels, le matériel, et les espaces de coworking), ainsi que les contributions à la retraite. Contrairement aux salariés en entreprise, ils doivent gérer eux-mêmes ces dépenses et intégrer ces charges dans leur modèle de tarification. Une bonne organisation de ces coûts est essentielle pour optimiser les bénéfices et assurer la viabilité financière de leur activité.

5.4 La planification financière

Pour réussir en tant que freelance, une planification financière efficace est indispensable. Il est donc fortement conseillé de  mettre en place des stratégies pour gérer les revenus fluctuants, prévoir les taxes et cotisations, et planifier les investissements dans son activité. Des outils d’administration financière, comme des logiciels de comptabilité ou des conseils d’experts, peuvent aider à suivre les finances et à prévoir les dépenses. Une anticipation accrue et une organisation rigoureuse permettent de naviguer plus sereinement dans les défis financiers de leur activité.

6. Les avantages et défis du travail en freelance

6.1 Les avantages d’être en freelance

Le travail en freelance offre plusieurs avantages significatifs qui attirent de nombreux professionnels. Tout d’abord, il permet une flexibilité et une liberté accrues. Un indépendant a la possibilité de choisir les projets qui l’intéressent et de gérer son emploi du temps selon ses préférences, contrairement à un salarié d’entreprise. Cette autonomie lui permet de concilier plus facilement vie professionnelle et vie personnelle. À noter qu’il lui est aussi possible de cumuler l’allocation chômage avec la création de son profil freelance, ce qui permet de sécuriser ses revenus au démarrage de l'activité. Ainsi, le chômage peut devenir une période transitoire favorable pour explorer de nouvelles opportunités en tant que freelance. En outre, certains choisissent de rester salariés de leur propre entreprise tout en exerçant leur activité en tant que travailleurs indépendants. Toutefois, il est important de respecter les obligations telles que le devoir de loyauté et les clauses de non-concurrence ou d'exclusivité prévues dans leur contrat, afin d'éviter tout conflit d'intérêt ou litige potentiel.

6.2 Les inconvénients et défis

Cependant, faire le choix de devenir indépendant comporte également des inconvénients et des défis importants. L’un des principaux inconvénients est la possibilité d’une activité limitée. En effet, les interventions peuvent varier en fonction des besoins du client et des fluctuations du marché, ce qui peut entraîner des périodes creuses. Les freelances doivent donc gérer cette variabilité en planifiant soigneusement leur activité et en mettant en place des stratégies pour maintenir un flux de travail régulier. La charge administrative est un autre défi. Ils gèrent eux-mêmes la comptabilité, les déclarations fiscales, la recherche de nouveaux clients, et la négociation de chaque contrat. Cette organisation administrative peut être chronophage et complexe, surtout sans l'aide d'une structure de soutien. Pour alléger cette charge, des solutions comme celles proposées par Akigora peuvent être particulièrement utiles, offrant des services pour simplifier la gestion administrative et la recherche de projets. Enfin, l’isolement professionnel peut être un problème pour ceux qui travaillent principalement seuls. Contrairement à la vie d’entreprise, l'absence de collectif de travail peut entraîner un sentiment de solitude et un manque de soutien professionnel. Pour contrer cet isolement, ils peuvent se tourner vers des espaces de coworking qui offrent un environnement collaboratif, ou rejoindre des réseaux professionnels et des groupes de soutien qui facilitent les échanges et le partage d’expériences.

En résumé, le statut de freelance représente une forme de travail en indépendance offrant une grande flexibilité et autonomie, offrant aux professionnels le choix de leurs missions et de gérer leur emploi du temps comme bon leur semble. Cependant ce statut, à l’inverse de celui de salarié, comporte des responsabilités et des risques spécifiques, notamment en matière de gestion administrative, de contrat et de stabilité des revenus. Pour ceux qui envisagent de se lancer en freelance, il est important de choisir les statuts juridique et fiscal les plus adaptés à leur activité, afin d’optimiser leur situation financière et légale. Une préparation minutieuse sur ces aspects est indispensable pour éviter les pièges courants et réussir dans cette voie professionnelle. En outre, le développement d’un réseau professionnel solide, la formation continue et l’utilisation d’outils adaptés sont essentiels pour se maintenir compétitif et développer ses compétences. 

Pour obtenir un accompagnement spécialisé ou répondre à toute interrogation, n’hésitez pas à contacter l’équipe d’Akigora. Nous sommes à votre disposition pour vous offrir des conseils personnalisés et mettre notre expertise à votre service afin de répondre à vos besoins spécifiques et vous aider à atteindre vos objectifs professionnels.

Guillaume M.
Fondateur

Fondateur d'Akigora.com, Guillaume a su construire l'entreprise pour répondre à la problématique du recrutement d'Experts qualifiés.